| | LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. | |
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Eben K. Littleton
Nombre de messages : 3 Age : 32 Côté Coeur : Cela existe encore ? Célébrité : Jared Leto Date d'inscription : 11/11/2008
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| Sujet: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. Mar 11 Nov - 22:30 | |
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Eben Keenan LITTLETON 22 ans. 20 décembre 1986 Portland Pardon ? Famous Guys
• Now you know;
« La mère d'Eben, Annah, a toujours montré à son entourage un désir profond d’avoir des enfants. Cette femme, qui a eu une enfance très malheureuse, due en grande partie à l’absence de sa propre mère, ou du moins c’est tout comme. La grand-mère du jeune homme n’a jamais voulu enfanter, et c’est par hasard, ou plutôt un mauvais coup du sort, qu’elle s’est retrouvée enceinte, comme la plupart des femmes à cette époque où la contraception n’existait pas.
C’est ainsi qu’Annah décida très tôt de tomber enceinte par tous les moyens. Certains disaient que c’était pour prendre une revanche sur la vie et donner à sa progéniture tout l’amour qu’elle-même n’avait jamais reçu. Malheureusement, ces personnes n’étaient que trop naïves. Les intentions de cette ancienne enfant délaissée n’étaient pas si nobles. Toujours est-il qu’à l’âge de 22 ans Annah mis au monde un joli petit garçon qu’elle prénomma Eben. Deux ans plus tard, ce fut au tour d’Emily de voir le jour, lors d’une nuit oppressant et orageuse. Le frère et la sœur s’entendaient à merveille, se complétant l’un l’autre. Leur mère était attentionnée envers eux. Tout allait pour le mieux. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, une tragédie bouleversa la tranquillité familiale. La maladie frappa du jour au lendemain Emily, et depuis plus rien n’était pareil. Les longs séjours à l’hôpital, les soins qui devinrent de plus en plus importants, la solitude devint le quotidien de cette famille. Eben se sentait de plus en plus abandonné, sa mère étant très prise avec Emily. L’état de cette dernière allait de mal en pis, jusqu’au jour où l’inévitable se produisit. Les médecins restèrent malgré tout sceptiques quant à la maladie de la jeune fille. Jusqu’à ce jour, ils n’avaient pu définir avec précision sa pathologie, malgré la batterie d’examens qu’ils lui avaient fait passer.
A la mort de sa soeur, Eben se sentait seul au monde, privé des sa moitié. Il sombra peu à peu dans le désespoir, De surcroît il fut placé dans un orphelinat car les autorités l’avaient enlevée à la garde de sa mère. En effet, il fut découvert, à la suite de la mort d’Emily, qu’Annah était atteinte du syndrome de Münchhausen par procuration. Ce syndrome, très rare, concerne généralement les mères. Annah a volontairement rendu malade sa fille, par divers moyens, comme par exemple des médicaments réservé aux équidés, afin d’attirer l’attention sur elle et d’évoquer chez les gens un sentiment de pitié. Elle fut internée dans un asile psychiatrique pour ne jamais en sortir.
C’est donc dans un orphelinat qu'Eben vécu à partir de l’âge de six ans. C’était un endroit très réputé. Il se sentait à l’aise là-bas, d’autant plus qu’il a tissé au fil du temps des liens très fort avec une jeune fille à peine plus âgée que lui, qu’il considérait alors comme sa seule famille.
" « Rends le moi ! »
Des éclats de rires accompagnés de bruit de course montait du couloir de l’étage inférieur jusqu’au bureau Miss Curie. La tapisserie des murs semblait animés autour d’eux, dansant follement sur les murs mais la vérité est toujours plus terre-à-terre : la tapisserie ne bougeait pas mais eux oui ; l’ivresse de la course, qui faisait battre leurs cœurs en des bruits sourds et violents, leur faisait tourner la tête, dissipant leur logique, libéra leur imagination grotesque et enfantine. Le sang leur montait au visage, enflammant leurs joues de vives couleurs ; leur souffle se faisait rauque et court à force de prolonger cet effort physique dans les couloirs sombres et crasseux du 17 rue des Muses. Ce numéro était pour Eux signe de damnation, de cauchemars, de peurs de cris et de larmes, de tristesses et de chagrins inconsolables. La misère était présente dans chaque grain de poussière, dans chaque recoin sombre. L’absence de leurs parents tuait l’enfance même dans les âmes de bambins prêts à tout pour s’enfuir mais cela leur était impossible.
« Rends le ! »
Il voulait s’asseoir, s’arrêter pour souffler, se poser là pour reposer ses jambes ankylosées et…Il le voulait, mais Il ne le ferait pas. La volonté prend toujours le dessus sur les probabilités physique. Si sa vie en dépend, un Homme peut courir deux kilomètres de plus que ce que son corps peut supporter, voir plus. La volonté est plus forte que tout. La volonté. Vouloir et ne pas vouloir. Si seulement il y existait un moyen de rendre fou de rage cet imbécile sans se fatiguer jusqu’à l’os, sans doute aurait-il choisit ce moyen mais ce n’était pas le cas.
« Littleton ! Mc Valenn ! Cessez immédiatement vos enfantillages ! »
Il existe au monde des êtres qui sont capable de vous terrifier. De vous glacer le sang. De vous faire pleurer. Ces êtres ont un physique différents des Autres. Ces êtres se ressemblent entre eux pour leur cruauté et leur mauvaiseté. Ces êtres sont à éviter. Au-delà de ces êtres, il existe des voix qui peuvent vous donner des sueurs froides ou au contraire vous apaiser. Miss Curie était un être haït des enfants. Et sa voix…Quelle voix ! Le crissement d’une craie neuve sur un tableau est plus agréable à entendre que Cette voix odieuse. Les deux enfants se figèrent sur place et une grimace de haine et de dégoût se peignit sur le jeune garçon qui répondait à l’appellation Mc Valenn, tandis que le second, Raleigh, fronçait les sourcils en cherchant une solution pour se tirer de cette affaire des plus ténébreuses. Quelques mèches, désordonnées par cette course effrénée à travers les couloirs, retombaient sur son visage d’ange.
Personne ne rit plus que les hommes, sauf les chevaux, mais eux, ils ne peuvent pas.
Le ricanement moqueur et désinvolte de Stebbins leur parvint. Ce garçon était le plus perfide de tous, mais aussi le plus égocentrique et hypocrite. Jamais Littleton, qui se prénommait Eben, n’avait vu pareille mesquinerie. Les garçons au 17 rue des Muses vivaient ensemble la plupart de l’année scolaire et n’avaient la possibilité de rentrer chez eux qu’en période de vacances ; ce qui les obligeaient à se supporter et à vivre ensemble en classe mais aussi dans les dortoirs et ailleurs. Le Pensionnat 17 rue des Muses était pour ainsi dire un avant-goût de l’Enfer lui-même pour les enfants. Les filles étaient deux rues plus loin, au cloître Sainte Mathilde où elles coulaient des jours tout aussi atroces. Stebbins savait se frotter à Miss Curie à la façon d’un chat qui cherche uniquement à obtenir une place au coin du feu lorsqu’il ronronne et se glisse de façon fourbe dans vos jambes en vous collant à la façon d’un tyran qui vous propose le même et éternel contrat : La bourse ou la vie. Stebbins…Stebbins et les Autres, ce n’est pas le début d’une magnifique romance amoureuse…Mais plutôt le début d’une éternelle guerre enfantine, aussi blessante et mauvaise que celle avec des armes autres que les mots. Stebbins est un rat à qui on jette du poison à pléthore…mais …
Le rat quitte toujours le navire avant que celui-ci ne coule.
Mc Valeen, qui répondait au prénom de Savior, se jeta sur le Rat dans l’espoir de le frapper jusqu’à ce que cette brindille frêle se brise en deux mais, heureusement ou malencontreusement, Miss Curie referma sa main semblable aux serres d’un oiseaux sur l’épaule de l’enfant bagarreur, et c’est toujours aussi qu’elle sauve la mise de son petit protégé qui ne vaut pas mieux que les autres. Cette Harpie a le don de protéger le Mal en personne songea Eben en s’accroupissant. Mais Mc Valeen est un imbécile aussi. Comme Stebbins. Je les hais. Ils sont malsains…
Au combat, si on est nombreux, c’est bien, si on a la ruse c’est parfait.
Profitant de cette minime diversion, Eben disparut sous un lourd rideau qui dissimulait un alcôve où sont laissés en vrac les balais. Il n’avait que six ans et mangeait peu, le laissant d’une maigreur maladive. Savior avait onze ans. Il était plus épais et plus pervers. L’enfant se glissa derrière une palissade de balais et s’accroupit de nouveau, étant parfaitement caché. Il entendit son ennemie crier dans le couloir. Crier après Stebbins. Crier après Miss Curie puis autre chose :
« Littleton ! Littleton s’est tiré ! Il s’est fait la malle ! »
Ce dernier se tassa un peu plus derrière son rempart de fortune, priant pour que personne ne l’ait vu se glisser sous la tenture. Il tremblait doucement de peur, sachant combien la punition serait sévère si jamais Miss Curie se réalisait qu’elle avait interpellé Littleton et Mc Valenn en même temps et que maintenant il ne restait plus que le dernier. Si jamais elle s’en souvenait, alors Eben recevrait une correction mémorable…Une de plus. "
Eben fut adopté à l’âge de douze ans et demi, et voua immédiatement une tendresse infinie à ses parents adoptifs : Wendy et Jack. Tout deux furent d’excellents parents aimants et le jeune garçon savait leur rendre. L’adolescence est une partie rude de l’enfance, c’est le moment où l’on mélange pensées adultes et craintes enfantines. Ce n’est qu’un mauvais moment a passé inoffensif selon certain mais pour Eben, cela l’a profondément changé, ou, plutôt, cela a révélé sa véritable nature. Il est devenu distant avec les autres bien qu’il a continué à aimer ses parents adoptifs. Il a délaissé ce visage rond et attendrissant d’enfant pour devenir un jeune homme attirant et mystérieux qui a le dont de charmer sans tapages. . »
• As i am;
« Eben est un jeune homme qui aime, et sais parfaitement, charmer. Normal. Seulement certains sont plus doués que d’autres, c’est un fait qui n’est plus à prouver. Il aime faire sourire et rire, en particulier les filles. Pour cela, il utilise l’humour, qui est parfois trop présent car le sérieux n’est vraiment pas un mot qui colle à la peau d'Eben. Loin de lui cette « chose étrange et grotesque ». Mais rien n’est impossible alors peut-être qu’un jour le sérieux gagnera le jeune homme mais ce n’est pas le cas pour le moment. Ce jour là, selon lui, il aura quatre-vingt deux ans et sera en maison de retraite, entouré de vieux qui pensent plus à ne pas louper leur feuilleton qu’au reste. Beau parleur, il l’est. Les mots pour lui n’ont plus grands secrets. Non pas parce qu’il a une vaste culture et qu’il connaît la définition de chacun, pas du tout, mais car il connaît les effets qu’ont les mots. Il joue avec, sait choisir les bons pour apaiser ou au contraire, blesser sans pitié, mais c’est une autre chose qui sera vu en dernier lieu.Pas besoin d’un dessin pour savoir le reste.
Grand habitué à la collectivité, Eben s’est parfaitement bien intégré dans l'Université, ayant trouvé sa place sans le moindre souci. Etre entouré, il aime ça. Surtout quand il sait qu’il peut compter sur ceux qui l’entourent. Son tempérament de personne facile à vivre pour son côté drôle, charmant et détendu, a beaucoup aidé. Evidemment, pour ne pas faire mentir, il est une tête brûlée qui agit facilement sur idée spontanée mais…pas toujours réfléchie. Joueur, il est amateur de jeu de carte et raffole de jeu dangereux. Plus les mises sont grosses, plus il est dans son élément et s’amuse. A croire qu’il existe des gens qui sont excités à l’idée d’être dépouillés…Chacun son truc.
Eben ne joue pas avec les mots que lorsqu’il s’amuse à charmer, mais aussi pour embobiner une tierce personne et il est loin d’être démuni dans ce domaine. Il sait se tirer d’affaire en évitant les plus gros dégâts mais pas sans l’aide de ses frères. La solitude lui fait réellement peur même s’il ne l’a jamais avoué pas même à sa propre personne. Pour en revenir au fait qu’il sait blesser, il ne le fait que très rarement et s’en veut longtemps après mais poussé en retrait sur son propre terrain il peut être « mauvaise langue » et avoir quelques réflexions cinglantes. Mais cela est, je le répète, très rare .
• I'm with yooooou;
Ethan S. Artwood -- Noir, Blanc ou Gris ? Kealyn A. Gordonn -- La trahison est la pire des tortures..
• & you, you, you !;
Christopher. 17 years old Jared Leto. Par Emeline; Ethan. Bien mais je vais finir mal voyons avec cette couleur d'écriture xD
Le code du réglement : OK
Bienvenue Ô Brownie !
Dernière édition par Eben K. Littleton le Mer 12 Nov - 23:14, édité 4 fois | |
| | | Eben K. Littleton
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| Sujet: Re: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. Mer 12 Nov - 21:33 | |
| Ton niveau de RP un exemple de message ( en spoiler ) - Spoiler:
Enfermés. Prisonniers. Maîtrisés. Ces trois mots résumaient parfaitement la situation. Aucun des deux êtres qui se trouvaient ainsi sous la pluie, livrés aux ailes humides et ruisselantes qui s'abattaient inlassablement sur corps et vêtement, ne se sentait capable de bouger. Belle, blottie dans ses bras, ne faisait rien que respirer, humer pour l'éternité l'odeur sucrée qui émanait du corps blanc, pâle à faire peur et plus dur que la plus polie des pierres. Quand à lui, il la serrait si fort contre lui qu'il avait l'impression que leurs coeurs par leur poitrines jointes l'une contre l'autre, n'avait fait que fusionner pour battre lourdement en seul témoin d'un amour plus grand que toute épreuve, plus dévastateur que toute mort. L'averse pourtant, ne s'apaisait pas et il semblait qu'elle prenait un malin plaisir à s'intensifier encore et encore. Mais quelle force, aussi puissante qu'elle fût et provenant de Mère Nature, aurait pût venir à bout du lion et de l'agneau? Brusquement, il la lâcha et sous le choc, la jeune fille tituba et faillit tomber. Retenue à temps par les bras vigoureux du jeune homme, elle gardait la tête baissée, les paupières clauses rivées sur le sol boueux de l'avant jardin dans lequel elle aimait tant lire ou simplement rêvasser pour s'endormir dans un soupir bienheureux. Chaque fois, il avait été là et à la vois ainsi couchée dans ce tapis d'herbe vert, ses longs cheveux éparpillé sur ce tapis de verdure, elle lui paraissait plus belle que jamais, lovée dans un havre de paix et dénué de soucis...Arriverait-il donc un jour à se pardonner d'avoir posé ses charbons ardents sur le beau visage albinos mangé par ses yeux noisettes? Probablement jamais. Mais en cet instant, Bella n'avait en rien l'air apaisée, au contraire, elle lui semblait plus vulnérable que jamais et Edward se souvint des paroles de sa soeur "Elle t'aime, c'est évident!" Comment pouvait-elle aimer une créature aussi monstrueuse, aussi égoïste que lui?
Alors doucement, il releva d'un doigt sous le menton orgueilleux le visage de la jeune fille et sous la pluie et de part la sombre nuit d'automne, il semblait taillé dans une nacre légèrement rosée. Alors, il céda. Comment ne pas céder, c'était trop beau, trop sublime, trop exquis pour ne pas être goûté. Délicatement, Edward posa ses lèvres bleues sur le rosé des siennes. Un auteur romantique aurait sans doute fait sonner de quelque endroit que ce soit le son effréné d'une cloche saluant l'ascension de deux amants qui venaient définitivement de se retrouver. Mais la relation entre Bella Swan et Edward Cullen était aussi atypique que compliquée, défiant les lois de l'amour aux extrêmes de façon audacieuse et impudique et ce baiser qui scellait à jamais leur appartenance l'un à l'autre ne fût pas accueillit par le tintement des Cieux, mais bien par un déferlement supplémentaire et une accentuation de pluie. De leurs bouches jointes s'échappaient les gouttes de pluie et leurs glissaient à présent l'un contre l'autre sous l'effet de l'humidité. Une personne censée se serait dépêchée de se réfugier, si ce n'était à l'intérieur de la maison, du moins dans le sec d'une des deux voitures... Edward ne sût jamais combien de temps il resta ainsi, penché sur elle et goûtant au doux plaisir sucrée que lui offrait les lèvres offertes. Un bon sens chassé par trois reprises s'incrusta pourtant une nouvelle fois dans son esprit anesthésié par la passion brûlante qui s'échappait de lui et, accentuant son baiser pour l'ultime et dernière fois, le jeune homme se défit de sa douce prison. Gardant son visage à quelques centimètres du sien, le vampire désarmé la prit dans les bras et la porta jusqu'à la véranda, pour au moins les protéger de l'humidité glaciale. Mesure complètement inutile puisqu'ils étaient déjà trempés jusqu'aux os. Ne la lâchant toujours pas et la sentant encore trop vacillante pour prendre conscience de se qui se passait, Edward ferma les yeux, inspira inutilement puis, poussa la porte d'entrée.
A l'intérieur, tout était calme et le silence de la demeure contrastait avec la violence et le vacarme que cette soudaine tempête faisait naître dans tout Forks. Pour une ville qui connaissait pour des trois quarts d'averse, cette nuit, il en avait l'impression, resterait cependant mémorable. Pour lui peut-être plus que pour les autres! A pas de loups, il traversa la vestibule et jeta un coup d'œil dans le salon. Un mince sourire se perdit sur son visage: Chef Charlie Swan dormait bruyamment sur l'un des canapés, le téléviseur resté allumé. Un de ses longs bras musclé traînait sur le tapis et renversa sous un choc lié à la respiration de titan de l'homme mûr une bouteille de bière, heureusement vide sur ce dernier. Un instant, Edward craignait qu'elle allait continuer de rouler sur le sol non tapissé et qui, par on ne savait quel mauvais goût, se trouvait être du carrelage de terre cuite et aurait eût don de réveillé le sommeil de l'ours. Mais il n'en fût rien et le jeune homme, intimement soulagé, se dirigea vers l'escalier qui montait aux chambres.
Doucement et comme s'il portait du verre, Edward gravit une à une et avec extrême douceur les marches de bois. Bella s'agitait dans ses bras; elle ne tarderait pas à sortir de la subite inconscience dans laquelle malheureusement, son baiser de tout à l'heure avait joué un rôle! Elle se serrait un peu pus contre lui et il déposa un furtif baiser dans ses boucles mouillées. Dieu qu'il aimait cette odeur! Arrivé dans la chambre de la jeune fille, Edward ferma soigneusement la porte et se jeta sur le lit. S'asseyant contre le mûr, il réussit tant bien que mal à défaire les chaussures de Bella et de lui retirer son manteau de pluie. Le jean qu'elle avait serait sans doute détruit ou du moins, impossible d'usage pour es prochaines semaines, tant l'eau s'était infiltrée dans ses mailles et avaient commencé à en délaver la couleur! Alors qu'il s'apprêtait à le lui ôter, elle frissonna de nouveau et ouvrit les yeux...Cessant immédiatement son geste, il préféra observa cette frêle créature qu’il aimait mais qui sous le choc semblait désorientée et e pas comprendre le geste d’Edward qui pourtant n’avait rien de malsain dans le fond de la chose. « Pardonne-moi, » furent les seules paroles qu'il puisse prononcer. A vrai dire, il ne regrettait rien du tout et la manière dont il formulait ses excuses ne devrait pas échapper à la jeune fille qui commençait à le connaître mieux encore qu'Alice. Et pourtant, c'était là une vaste entreprise! Il se contentait de sourire, de la regarder en détaillant chaque parcelle de ce corps humide qui ne faisait rien que de se dévoiler à lui, pudique quoique vulnérable, chose et situation qui avait beaucoup plus d'effet sur lui que le plus puissant des alcools chez un être humain. Un jour, elle lui avait dit que sa seule présence lui montait à la tête, la saoulait complètement. Avait-elle pensé en métaphores similaires quand aux manifestations de ses pensées lorsqu'elle était dans les parages? Contrairement à ce qu'elle pouvait croire, Edward ne se moquait pas d'elle, bien que son sourire croissait à vue d'oeil sous les regards courroucés de sa belle amie. Les éclairs de regards qu'elle lui lançait ne faisaient que masquer le trouble de la jeune fille, ses joues prenant une teinte rose sous la pâle lueur d'une pleine lune à peine visible sous les rideaux de pluies torrentielles qui se déversaient sur la petite ville de Forks. Le jeune homme, détournant son regard de la jeune fille, fixa un instant le dehors de couleurs entremêlées de la Nature, le déchaînement surnaturel des éléments...
Puis, il ramena sur elle toute l'ardeur de ses yeux et si elle avait été plus observatrice, Bella aurait remarqué les flammes qui illuminaient à présent l'ocre brillant des prunelles perçant dans l'obscurité de cette nuit d'automne. Il dardait son regard, comme cherchant à s'imprégner de la beauté d'un corps qu'elle disait commun, mais dont elle, en tant que femme, ne dessellait pas encore tout le pouvoir de séduction... Dans ces moments de profond silence où seul son esprit s'accordait des défaillances peu propices aux risques qu'il prenait, Edward regrettait plus que jamais de ne pas être comme les autres. Car si cela avait été le cas, il y aurait eût longtemps que... Edward finit par se ressaisir. Contournant le lit, il s'assit sur son bord et, prenant les mains de Bella, il les recouvrit des siennes plus glacées que la mort avant d'y déposer un baiser. Un doux sourire illuminait l'intacte marbre de son visage cependant que ses yeux scintillaient comme deux étincelles du soleil dans une chambre sombre et froide...
* Que peux-tu bien penser …Quelle idée t’a traversé l’esprit lorsque tu as sentis que j’allais te retirer ton jean…Questions auxquelles je ne peux pas avoir de réponses, questions blessantes pour être trop orgueilleux…*
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| | | Ethan S. Artwood
Girl &&. Sex - EVERYBODY are sucks. you KNOW that ?
Nombre de messages : 79 Age : 33 Côté Coeur : Qui parle encore d'amour de nos jours ? Philosophie : Fuck you; Célébrité : Ed Westwick Date d'inscription : 09/11/2008
Identité Relations: Etudiant(e) en : Sex. =Pp`
| Sujet: Re: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. Mer 12 Nov - 21:39 | |
| MON PIPOU D'AMOUR ( L ) *t'es un pervers. | |
| | | Eben K. Littleton
Nombre de messages : 3 Age : 32 Côté Coeur : Cela existe encore ? Célébrité : Jared Leto Date d'inscription : 11/11/2008
Identité Relations: Etudiant(e) en :
| Sujet: Re: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. Mer 12 Nov - 22:22 | |
| Je suis PAS un pervers !
Mais jetaimeee =D | |
| | | Jelena K. Artwood
It's not over till it's over
Nombre de messages : 118 Age : 32 Côté Coeur : Mon coeur n'est pas à prendre, il m'appartient Philosophie : Qui vivra verra Célébrité : Jessica Stroup Date d'inscription : 09/11/2008
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| | | | Leah V. Hellington
Mlle LEAH VANESSA; ♥ i just wanna be with you JAKE .
Nombre de messages : 241 Age : 32 Côté Coeur : Jake (L) Philosophie : Vis le moment présent. Célébrité : Vanessa A. Hudgens Date d'inscription : 01/11/2008
Identité Relations: Etudiant(e) en : Musique
| Sujet: Re: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. Jeu 13 Nov - 14:45 | |
| J'aime beaucoup tout ce que tu as écrit et c'est pour cela que tu es validé. N'oublie pas par la suite de créér ton scénario. | |
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| Sujet: Re: LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. | |
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| | | | LITTLETON Eben K. ; The party has been non-stop yesterday. | |
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