RACHEL T. BUTLER

( minimoi )

Taylor

BUTLER

New York

SWEETHEARTS

• Now you know;

« Moi, et ma famille. »

J'ai vécu avec deux hommes, mon père et mon frère. Pas de mère, celle-ci décédée lors de mon accouchement. Je ne l'ai su qu'à l'âge de 14 ans ! Mon père ma toujours mentit l'a dessus. Me disant qu'elle était partie avec un autre homme. Mais pourquoi m'avait il mentit ? J'avais le droit de savoir la vérité sur ma mère. Et depuis ce jour j'en veux à mon père Antoine. Je restais seulement avec mon grand-frère. Qui se prénomme Samuel, mais que je l'ai toujours appelée Sam, car il préférait. J'avais de bons liens avec lui c'était d'ailleurs le seul frère, ami, confident tout ce qui se rapportait entre frère et soeurs et amitié. Bizarre mais c'était comme ça ! Je lui faisais une énorme confiance. C'est mon frère... Je n'ai jamais eu de petit frère ou de petite soeur. Une famille de deux enfants semblait plaire à mon père qui ne voulait plus ce remarier. Heureusement d'ailleurs. Comme je pouvais déjà prédire que je la détesterais. Depuis le jour de ma naissance mon père est resté seul et ne voit pas pourquoi il devrait ce remarier alors qu'il se sent bien mieux seul.

« L’adolescence, quelle période pourrie dans la vie d’un être humain. »

L'adolescence, tout le monde y passe. Malheureusement d'ailleurs. Vous savez l'âge ou vous, en fouettez de tout, l'âge où vous faites que des conneries. Et bien j'ai passé par là, moi aussi. Je ne faisais que souffler quand on me demandait de faire quelque chose et je ne faisais que répondre à mon père. Qui un jour finit par en avoir marre. Une claque, sans doute celle que je m'en souviendrais toute ma vie. Mon père était loin d'être violent, mais faut dire que j'avais été un peu trop loin en l'ennuyant toujours. Après tout je n'ai eu que ce que je méritais. Mais ce n'est pas pour ça que je n'allais plus faire ch*er mon petit monde bien au contraire. J'ai commencée à sortir souvent, trop souvent d'ailleurs à boire, comme à fumer, le tabac... Je me souviens du jour où Sam a du venir me chercher tellement j'étais saoul. Enfin je m'en souviens pas mais c'est Samuel qui me l'a dit. Bien évidemment on a essayés de cacher ça à mon père. Ce qui n'a pas marché vu qu'il l'a découvert rapidement. Forcément en me levant j'avais la gueule de bois. Mon père en avait marre, vraiment marre. Je le savais et je le voyais. Et pourtant il ne ma rien dit un simple regard m'a fait comprendre qu'il était furieux. Et pourtant il ne m'a rien dit.

« Voilà ce qui arrive quand on écoute pas. »

Pendant un mois mon père n'a pas voulu que je sorte. Et oui très rancunier tout comme moi en fait. Mais alors pendant un mois j'allais rester chez moi sans sortir ? Mais oui si mon père croyait que j'allais l'écouter là il pouvait encore rêver. Ca aurait été encore une semaine ok, mais la un mois faut pas abuser. Vu qu'il travaillait souvent j'allais en profiter, car oui mon père était avocat. Donc n'était pas toujours présent. Et vu que mon frère est plus âgé que moi il avait déjà un boulot. Barman, ce n'était qu'un petit boulot qu'il faisait comme ça, car après il voulait devenir également avocat. Ce qui n'a pas été le cas pour moi. Bref, vu qu'ils étaient aucun des deux là j'en ai profitée pour aller à une soirée organisée par ma meilleure amie à ce temps-là. Il y avait de nombreuse personne c'était chez elle qu'elle avait fait ça. Alors, il y avait de nombreux amis comme de nombreux inconnus. Il y avait des boissons alcoolisés et seulement du Coca-Cola pour autre boisson ou bien sûr de l'eau. Mais le reste c'était de la Vodka, Tequila, Gin, de tout ! C'était une faites après tout ! Mais moi je ne buvais que de l'eau pour ne pas encore énerver plus mon père. C'est-ce soir là que je compris que je devrais écouter ce que disait mon père. Faut dire qu'il y avait plus de mecs que de filles. Et la plupart étaient tous bourrés...

« L’enfer je vous dis… J’ai connu l’enfer. »

Non, lui disais-je. Que des non. Et pourtant il continuait malgré que je me débattais et malgrés que je pleurais il continuait. Je le repoussais, mais en vint il était bien trop lourd. Cet inconnu m'a effectivement violé. Il était bourré ou en fait je crois, moi je ne l'étais pas. Mais pourtant j'avais l'impression qu'il savait ce qu'il faisait. La soirée était presque finie. Et après qu'il m'ait violée il a quitté la maison comme un voleur. J'avais beau avoir criée, personne ne m'avait entendu. Personne, la musique était trop forte. Je m'étais redressée, me dépêchant de m'a rhabiller et de quitter cette maison. Mon père n'était pas rentrée quand à mon frère je n'en savais rien, il était 00h00 quand j'étais arrivée chez moi. Mon père n'était pas présent, quant à mon frère il venait de rentrer. A mon frère on ne pouvait rien cacher et puis j'avais tout le mascara qui avait coulé sur mon visage. J'avais toujours les larmes sur mes joues. Et les yeux rouges. Je l'ai évitée, préférant ne rien dire. Préférant ne pas ennuyer mon frère avec cette histoire. J'avais 16 ans ! J'étais jeune ! Trop jeune ! J'aurai dû écouter mon père... J'aurai dû...

« L'heure des explications. »

Mon frère était venu me voir. Il me comprenait et savait qu'il s'était passé quelque chose. Il ne me demandait même pas pourquoi j'étais sortie, mais ce qu'il s'était passé. Et tout ça derrière la porte je m'étais enfermée dans ma chambre pour rester seule. Il m'a demandé plusieurs fois d'ouvrir la porte, mais aucun geste n'a été fait par moi restant assise derrière la porte tout comme lui qui était de l'autre. Il m'a dit : « Ok, laisse la porte fermer. Mais sache que je resterais derrière jusqu'à ce que tu m'ouvres. » je connais bien mon frère, je savais qu'il tenait à moi et je savais qu'il voulait me protéger. Mais je restais là assise derrière la porte essayant d'oublier l'instant affreux que j'ai passée. Après être restée facilement 20 minutes sans bouger de là je me relevais doucement déverrouillant la porte. Et aller m'asseoir sur mon lit. Mon frère était rentré. Il n'avait pas quitté sa place. Il était venu s'asseoir auprès de moi me prenant dans ses bras. Les liens avec lui était très bon je tenais énormément à lui et si jamais il lui arrivait quelque chose je ne m'en remettrais sans doute jamais. Il me le demandait encore. « Qu'est-ce qu'il sait passer. » après me l'avoir demandé au moins dix fois je craquais et lui avoua tout. Je m'étais de nouveau effondrée en larme, mais dans ses bras cette fois-ci. Mon frère n'en revenait pas, il était furieux ou plutôt fous de rage. Il m'a demandé aussitôt qui était ce garçon. Et je lui ai dit que c'était un inconnu. Connaissant mon frère il aurait été capable de tuer la personne. Et puis même si je connaissais le garçon je ne lui aurai pas dit de peur que Samuel ait en prison.

« Ce qui doit être fait sera fait. »

Le lendemain je fus réveiller par un bruit bizarre. Je m'étais réveillée en sursaut et était descendue voir ce qui se passait. Mon père était assit à la table et à côté le vase qui s'y trouvait. Il avait quoi ? Il était énerver voir pire. Contre lui ou contre, je ne sais pas qui, mais pas contre moi. Car il était venu me prendre dans ses bras. Je n'imaginai même pas une seule seconde que mon frère avait put été le balancer à mon père et pourtant çi, car je vus débarquer mon frère dans le salon d'un air désolé. Et je compris rapidement, je me reculais et fit comme de rien n'était. Je ne voulais pas qu'il le dise à mon père. Mais il l'avait fait. J'étais montée afin de me doucher et faire tout ce que j'avais a faire. Je voulais faire comme si rien ne c'était passé alors qu'au fond de moi je ne voulais qu'une chose. Ne plus faire partie de ce monde. J'étais descendue je voulais éviter par-dessus tout le sujet. Je ne voulais pas en parler et pourtant j'allais bien être obligée de le faire vu que mon père m'emmena au commissariat puis à l'hôpital. Où on a dû faire des examens et tout ce qu'il fallait. Il y avait deux policiers qui n'avaient également pas assister aux examens comme mon père d'ailleurs moi et cette infirmière qui semblait me prendre pour une je ne sait quoi. Les examens n'allait pas arriver de sitôt il faudra un certain moment. Moi je voulais savoir si cet homme m'avait mis enceinte. C'est-ce qui me faisait le plus peur. Car j'allais avoir l'enfant d'un monstre et je serais incapable de demander l'avortement...

« L‘enfer continue, et continuera. »

Deux semaines mon père reçu un appel de l'hôpital. Mon père ne travaillait plus il avait demandé des congés afin de rester auprès de moi. Sa présence ne me fit pas plus sourire mais bon je trouvais ça tout de même bien qu'il ait demandé des congés. Bref, ont partit à l'hôpital tous les trois. Car mon frère a voulu venir afin de savoir également les résultats. Une bonne nouvelle je n'étais pas enceinte. La police avait également découvert qui était cet inconnu. Un jeune homme âgé de 23 ans, qui avait déjà fait de la prison. Je ne voulais qu'une chose. Oublier tout ça ! Oublier ce moment-là. Mais malgré les efforts, je n'arrivais pas à oublier son visage horrible. Qui me restait gravé dans le crâne. J'avais peur qu'il n'ait pas en prison, mais mon père avait tenté de me rassurer en me promettant qu'il allait le foutre en prison.

« Me voilà au tribunal ! »

J'ai attendu un peu avant d'y aller. Je ne me sentais pas prête de le revoir. Et de m'exprimer devant tous ces gens. Mais je le fis. Pour que ce garçon aille en prison. Il avait 23 ans j'en avais 16. Il avait l'âge de mon frère... Me trouver dans cette salle à devoir parler et dire ce qui s'était passé était extrêmement dure. Les questions que posaient l'avocat du garçon du nom de Chris, n'arrêtait pas, il était agressif dans sa façon de parler et tout ce qui va avec. Quant à mon père qui était mon avocat par la même occasion posaient ses questions, n'étant pas agressifs mais nerveux. Chris, lui, il était là à me regarder, avec un petit sourire de coin l'air de dire « Je vais gagner. » en fait je pense qu'il n'était pas bourré. D'ailleurs je le dis lors d'une question que mon père m'avait posé. Enfin j'essayais de répondre aux questions sans que j'aille l'envie de pleurer même si au fond je ne voulais que ça. Je regardais les gens dans la pièce, en particulier mon frère. Puis tout ça se termina. Et mon père avait gagné, ce garçon allait rester en prison pendant 30 ans. Le jury aillant sûrement eut pitié de moi. On préférer mettre cet homme en prison. Ce qui était ce qu'ils devaient faire. J'espérais pouvoir reprendre normalement la vie. Même si je n'oublierais jamais ce qu'il m'a fait.

« C’est de pire en pire. »

Un mois plus tard je commençais à faire des cauchemars de lui. A chaque fois ces cauchemars m'effrayais et j'avais bien peur qu'il revienne. J'avais pourtant 18 ans et bien j'étais toujours autant traumatisée par ça. J'avais peur qu'il revienne, peur de le revoir. Suite à ses cauchemars je perdais un peu la tête même si je ne le montrais pas à ma famille. D'ailleurs je ne sortais plus et j'avais arrêtée les cours. Je préférais rester enfermer chez moi. J'en avais marre de supportée ça. C'est pour ça que j'avais eu l'intention de mettre fin à mes jours. Mon père était dans sa chambre et mon frère aussi. Il était passé 00h00. J'étais descendue dans la cuisine. Un couteau en main et la main qui tremblait j'en avais marre de ça. Je voulais être en paix le couteau à quelques centimètres de mon poignet je vis mon frère rentré. Je pensais qu'il était dans sa chambre, mais je m'étais trompée. Et il me vit comme ça là avec ce couteau à la main. Et il c'était approcher de moi tandis que moi je reculais. Il n'arrêtait pas de me dire de ne pas faire ça qu'il m'aimait, que sans moi il ne serait plus rien. Il ne faisait qu'un roman comme ça. Et moi je le regardais. Ne sachant plus quoi faire. Il finit par s'approcher de moi et à retirer le couteau hors de mes mains.Et jem'étais retrouvée contre lui dans ses bras et me dire que ça allait aller. Qu'il ne fallait pas faire ça que sa ne servirait à rien. Mais c'était trop facile de dire ça...

« Une nouvelle vie s‘offre à moi. »

Ma tentative de sucide avait été raté à cause de mon frère. Je faisais autant de cauchemars, mais je n'en avais pas parlée avec mon frère. Préférant ne pas être prise pour une folle. Mon père n'avait pas été au courant de ça aillant demander à mon frère de ne rien dire. Enfin, mon père, mon frère et moi déménageons. Mon père avait arrêté le boulot. Il n'était plus avocat, il avait ça pour moi. Et dire qu'avant je m'en foutais complètement de lui. Je le regrette d'ailleurs. Mon père, mon frère et moi avons déménagé dans une autre ville. A Providence dans l’État de Rhode Island. J’ai été acceptée à Brown University. Et je cache se terrible secret. J'ai 19 ans, toute cette histoire c'est passée il y a trois ans. Et depuis que je suis là-bas, dans cette nouvelle ville, j'ai arrêter de faire tous ses cauchemars. Je me s'en un peu mieux qu'avant... Cela est déjà un bon départ pour une nouvlle vie...

• As i am;

- Je suis sympathique. Très gentille, voir de trop même. Je sympathise avec de nombreuse personne. Je n'ai pas d'ennemi, du moins pour l'instant. Je suis également généreuse, je n'hésite pas à prêter mes affaires, voir de l'argent à mes amis. Je n'attends jamais rien en retour de leur part.
- Je n'ai pas que de bons côtés. Je suis loin d'être parfaite. Personne n'est parfait de toute façon. Qu'est-ce que je peux être curieuse. Toujours à me mêler des affaires, qui ne me regarde en rien. Ça m'a déjà attirée deux fois des problèmes. Mais tout c'est rapidement réglé.
- Je suis également très rancunière, il me faut toujours du temps à m'en remettre, ou à accepter les excuses de la personne. Je n'aime pas les gens qui s'amuse à critiquer. Mais ça il y en a un peut partout dans le monde.
- La jalousie est un très vilain défaut. C'est sûrement de famille, car mon père et mon frère le sont. Je suis jalouse par exemple : Quant une fille drague mon copain. (Même si je suis célibataire pour l'instant.)
- Il m'arrive d'être naïve. Je crois souvent ce que l'on me dit. Je suis franche, d'un côté c'est bien d'un autre pas. Car je dis ce que je pense que se soit en bien ou en mal. Revenons plus à mes bons côtés, je suis attachante. Sans doute car je ne suis pas méchante, ou ennuyante.

• I'm with yooooou;

Samuel Butler
Penn Bagdley
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Rachel est sa petite sœur. Il se montre énormément protecteur envers elle. Et encore plus depuis qu’il sait qu’elle sait fait violée. Ils restent souvent ensemble. Ils sont frères et soeurs mais on pourrait également croire qu’ils sont des meilleurs amis. Ils se font des cinémas etc… Comme des amis quoi ! Ils s’entendent très bien, et les disputes son rare. Mais quand il y en a une, ils sont vraiment énerver tous les deux et peuvent se détester . Et là ils ressemblent plus à des frère et sœur. Sinon les disputes peuvent être longue. Ils peuvent se faire la tête pendant quelque jour. Car Rachel n’est pas du genre à faire le premier pas et ce n’est pas elle qui ira s’expliquer. Contrairement à Sam qui lui préfère réglé tout plus rapidement.

Julian S. Stewington
Robert Pattinson
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Rachel est la meilleure amie de Julian. Depuis deux ans. Donc un an après ce qu’elle à subit. Elle ne lui en a d’ailleurs jamais parler. Même si au fond elle, elle ne veut pas lui cacher. Car elle l’apprécie énormément. Et elle lui fait énormément confiance. Il y a des jours Julian s’amuse à l’ennuyer, du coup là, elle l’apprécie moins, voir le déteste. Car il lui arrive d’être blessant avec ses paroles. Même si Rachel ne montre aucune émotions. Enfin quand il est comme ça on peut dire que Rachel le déteste. Mais c’est rare quand il l’ennuie vu qu’ils s’apprécie. D’ailleurs peut être même plus que de l’amitié… Mais elle n’ose pas lui avouer. Ce qu’elle ne sait pas c’est que Julian lui est complètement fou amoureux d’elle. Et qu’il ne va pas tarder à lui dire. Mais le seul problème est que Samuel (frère de Rachel) voit bien que Julian aime sa sœur Rachel. Ce qui fait qu’il le déteste.

• & you, you, you !;

SID

Taylor Momsen

RP MOYEN

Spoiler:

Le samedi. C‘est mon jour préféré. Le samedi c’est la journée sans devoir se lever pour aller aux cours. Même si je ne vais pas toujours aux cours. C’est le jour ou je peux dormir des 16h30 de l’après-midi. Et je vous assure, je me suis déjà lever vers ses heures là. Un gros paresseux mais que voulez-vous. Quand je dors, je dors ! J’avais fais la fête toute la nuit. J’étais rentrer à 02h00 du matin dans les dortoirs. J’avais énormément bu, et je n’arrivais pas a rester droit je partais vers la gauche, puis vers la droite, mais je me retenais grâce aux murs sinon je serais sans doute la gueule au sol. Enfin, je m’étais également trompé de chambre. Au lieu d’aller au B116 j’ avais été rendre visite au B114. Mais vers 03h20 du matin j’avais réussis à regagner ma chambre. C’est vers 13h00 de l’après-midi que je…, qu’ON m’avait réveiller.

TUCKER, j’vais te tuer !

Avais-je crier dans toute la chambre. Cet abrutit m’avais réveiller en faisant tomber je ne sais quoi à terre. Ce qui avait tendance à m’énerver . Je déteste qu’on me réveille. Enfin, du lundi au vendredi c’est pas mieux c’est leurs stupide réveils de mes deux qui me sors de son lit. Enfin, bien sûr je n’allais pas tuer Ryan T. pour si peu mais j’allais lui faire la gueule. Et oui, c’est ça quand on réveille l’ours. Apprêtez-vous à courir ! J’ avais mit mon visage sur son coussin. La lumière pénétrait dans la chambre et je n’allais pas savoir me rendormir. J’étais rester plus de dix minutes dans la même position et avait finit par se décider à me lever. Une fois lever j’avais directement squatter la salle de bain afin de prendre une bonne douche froide qui allait bien me réveiller. De plus j’ avais un terrible mal de tête. Une fois m’être doucher, habiller et coiffer, je laissa enfin laisser la salle de bain au prochain qui n’arrêtait pas de me demander de me dépêcher. J’ai pris un malin plaisir de prendre tout mon temps. A comme je suis ! Mais j’aime bien faire chier mon monde. Ce n’est pas interdit !

Bref, j’avais enfiler des chaussures. J’allais pas rester là j’allais quitter cet endroit pour prendre l’air. Donc je pris mes clés, mon portable, et mes clopes que je mis dans la poche de mon jean. Depuis que je suis arrivé ici j’enfermais TOUS mes affaires sous clés. J’avais mit un cadenas sur ma petite commode à côté de mon lit. Et là se trouvait mon ordinateur portable, mes clopes, mon portefeuille enfin tout les affaires qui valent pas mal d’argent. Je n’avais pas confiance en ses deux pauvres colocataires. Bref, j’étais sortis de l’Internat "Mount Pleasant High" et marchait dans les rues de Providence. Pour me rendre je ne sais où. J’allais bien avoir une idée. La plage, elle sera vide. Il fait assez froid vu que nous sommes en octobre. Donc les gens ne viendront pas. Je marchais les mains dans les poches de ma veste en cuir, pour finir par sortir mon paquet de clope et d’en allumer une. J’arrivai sur la plage je jeta un bref coup d’œil et remarqua Anastasia. Je roula les yeux et poussa un petit soupire. Moi qui voulait me retrouver seul. Même si elle faisait partit de mes amis, des fois j’adore passer mon temps seul. Et si je la nie elle v’a encore venir me faire chier en me demander pourquoi. Je marchais lentement vers celle-ci tirant un coup hors de la cigarette. Et arriver à sa hauteur je la vis dessiner sur le sable. Je la regardais et dit :

Oh ! Un dessin pour moi ? Comme c'est chou ! Tu veux que je t’aide à construire un petit château de sable ?

Dis-je en ricanant. Il avait un peu envie de l’ennuyer. Mais c’était pas bien méchant.

OK

Bienvenue Ô Brownie !